Alors que les abattoirs européens produisent quelques 60 millions de tonnes de déchets par an, soient 150 kilos par habitants, un père béninois a trouvé le moyen de développer la culture d’asticots à partir de ce type de déchet.
Les larves produisent des oeufs à partir desquels extraire des protéines, dont la vente apporte une nouvelle source de revenu pour les élevages et abattoirs, et finance éventuellement la réduction des pollutions diverses dont les abattoirs sont généralement la cause.
Par ailleurs, un professeur a observé l’effet bénéfique des asticots sur les blessures. Ce dernier a démontré que l’usage des asticots par les Mayas ou les Aborigènes n’était pas fortuit mais avait un effet positif : Leurs enzymes nettoient les plaies et leur action crée un champs magnétique qui stimule la croissance cellulaire.
Source : The Blue Economy